Les voitures automobiles anciennes et les véhicule anciens de collection, v2.
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La marque Ferrari, Italie 1940 - ...
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La marque italienne Ferrari fut fondée en 1940 par Enzo Ferrari, Italie équipe dirigeante : Luca di Montezemolo et Piero Ferrari, 1988 , mort d'Enzo Ferrari, actionnaire : FiatGroup 85% et Mubadala Development Company 5%, société mère : FiatGroup.
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La firme Ferrari commença sa carrière automobile en 1929, sous le nom de Scuderia Ferrari. Cette année-là, Enzo Ferrari créa une organisation dont le but principal était l'entretien des voitures de course de la clientèle d'Alfa Romeo et qui se consacrait aussi à la transformation et à la modification des voitures de la marque. Le cheval cabré, emblème du pilote de guerre Francesco Baracca, était et est resté l'emblème de l'écurie.
Au volant des Alfa Romeo Grand Prix, Ferrari avait gagné de nombreuses courses jusqu'en 1938, date à laquelle Alfa Romeo décide de confier ses voitures à ses propres pilotes. Ferrari quitte alors cette société pour fonder sa propre firme et, peu après, il construit deux modèles mais ne put leur donner son nom, car il était encore lié à Alfa Romeo.
L'Auto Avio Costruzioni, avec siège à Modène était une société spécialisée dans la construction de machines-outils. Pendant la guerre, elle fut transférée à Maranello, sur un terrain appartenant à Ferrari. Bombardée en 1944 et 1945, l'usine fut reconstruite, en 1946, en vue de la production automobile, au moment où la firme prend la raison sociale de Auto Costruzione Ferrari.
A cette date. Ferrari présente une petite sport deux places équipée d'un moteur conçu par Colombo, un V12 1,5 litre, a un seul arbre à cames en tête. C’est la première véritable Ferrari, la 125 GT ; A la 125 GT s'ajouta, l'année suivante, la 125 S, qui débuta le 11 mai 1947 sur le circuit de Plaisance, pilotée par Franco Cortese.
Le projet d'Enzo Ferrari de créer plusieurs types de voiture, dont une monoplace de Grand Prix, se réalisa dés 1948 avec la 125 FI (1 500 cm3), dotée elle aussi d'un 12-cylindres en V à 60°, mais dont la puissance avait été portée à 250 ch. à 7 000 tr/mn, grâce à l'emploi d'un compresseur Roots.
La 275 F 1 fut utilisée pour la première fois sur le circuit de Spa en 1950, la deuxième fois sur celui de Genève et la troisième fois à Monza dans le Grand Prix d'Italie, où Ascari, contraint à l'abandon, réussit néanmoins à conquérir la deuxième place après avoir pris la voiture de Serafini.
La construction de la 500F2, (première voiture qui, rompant avec la tradition Ferrari, utilisait un moteur quatre cylindres) qui devait connaître une série de succès inhabituelle, fut décidée pour deux motifs : se préparer avec un moteur doué d'un couple moteur supérieur à la formule 1 de 1954, qui devait limiter la cylindrée à 2 500 cm3, et ouvrir une nouvelle voie dans la formule 2, où Ferrari, dès 1948, avait obtenu de bons résultats avec une 12-cylindres (quatorze victoires, huit deuxièmes places).
En 1952, Ferrari entreprit la production de véritables Grand Tourisme, qui bénéficièrent d'abord de la collaboration de Ghia, Vignale, Touring, Boano et Ellena, puis de Pininfarina. Le premier modèle fut la 212 Inter, un cabriolet à deux places, pour la réalisation duquel on dut résoudre un certain nombre de problèmes posés par l'adaptation du châssis tubulaire à la carrosserie. Il fut suivi de la version Coupé et, en 1953. par le spider 375 America, première « barquette » construite par Pininfarina pour Ferrari.
Ferrari aborda la formule 1 de 1954 avec une monoplace, la 625 F 1, mue par un 4-cylindres dérivé de celui de la formule 2 (1952-1953) utilisé pour la première fois, à titre expérimental, sur une voiture engagée dans le Grand Prix de Bari de 1951.
En 1955, Trintignant gagna le Grand Prix de Monaco avec une 625 S modifiée. Cette voiture acheva sa carrière dans le Grand Prix de Grande-Bretagne, et la Squale, devenue « Supersquale » à la suite de modifications substantielles apportées durant l'hiver 1954-1955.
En 1956, Juan Manuel Fangio, qui était entré dans l'écurie Ferrari, remporta son quatrième titre mondial et le troisième titre pour la firme de Modène. La 8-cylindres Lancia-Ferrari, qui avait subi des modifications dans les suspensions avant et dans le châssis, continua d'être la machine de base de la formule 1 durant la saison 1957.
De 1954 à 1960, Ferrari produisit aussi un nombre important de voitures Sport et Grand Tourisme, utilisant des moteurs à 4, 6, 8 et 12 cylindres. Parmi les 4-cylindres, une voiture obtint un grand succès, même sur le plan commercial, la 500 Mondial (2000 cm3), qui, à partir de 1956, fut appelée « Testa Rossa » parce que certaines culasses avaient été peintes en rouge.
En 1956, Ferrari s'était implanté dans le domaine des grosses cylindrées de grand tourisme, avec la 410 Superamerica, dont dérivèrent les Superfast (I, II, III), qui amenèrent à Ferrari une clientèle d'élite. Un succès considérable fut aussi remporté par la 400 Superamerica, modèle issu de la 410 et doté d'un moteur de 4000 cm3.
Dès 1959 (à partir des Douze Heures de Sebring pour les modèles Sport et du Grand Prix de Monaco pour la formule 1), Ferrari avait définitivement opté pour les freins à disque. En 1961, la firme adopta irrévocablement le moteur arrière. La première machine à en être dotée fut la 156 FI construite en 1960.
La série des prototypes de la période 1963-1967 permit à Ferrari de faire un très important bond en avant. Des 300 ch. à 7 800 tr/mn (rapport de compression de 9,8:1) de la 250 P de 1963, on passa aux 450 ch. à 8 200 tr/mn (rapport de compression 10,5:1) de la P 4 avec moteur de 3 967 cm3. Le moteur à six cylindres de formule 1 de 1961 fut le premier d'une série comprenant la 196 S, une 2000 cm3 avec laquelle Ludovico Scarfiotti enleva le Championnat européen de la montagne en 1962, exploit qu'il renouvela en 1965 avec une Dino 206, autre version de la même voiture.
En 1968, alors qu'il est très lié à Fiat pour lequel il produit quinze Fiat Dino parjour, Ferrari lance la 365 GTC pour remplacer la 350 et la 365 GTB/4 Daytona dotée d'un moteur de 4 390 cm3 développant 352 ch pour atteindre 280 km/h.
Ferrari poursuivit, à partir de 1966, la fabrication d'une grande variété de voitures Sport, parmi lesquelles certains modèles dotés de moteurs de grosse cylindrée. Comme la 512 S (5000 cm3, 550 ch.), la 512 M qui lui fit suite et qui avait une puissance portée à 610 ch. à 9000 tr/mn, ainsi que la 612 ÇA (Can-Am) (6 222 cm3, 640 ch.) ne furent pas parmi les plus marquantes de la production Ferrari. Leur fabrication fut la conséquence de règlements stériles au point de vue technique.
A la fin de 1973 fut présentée la Dino 308 GT, qui, avec un 8-cylindres en V (255 ch. à 7 700 tr/mn) placé au centre de la voiture en position transversale et une carrosserie dessinée par Bertone, rompit carrément avec la tradition dans le domaine du Grand Tourisme traditionnel.
En 1976, les 365 GT deviennent les 400 et 400 Gt, 4,8 litres, dotées de l'injection en 1979 et rebaptisées 412 en 1985 avec un moteur de 4,9 litres.
En 1983, le coupé Mondial à seize soupapes présenté en 1980 reçoit seize soupapes supplémentaires en 1983, sort en cabriolet en 1984 et avec un 3,2 litres l'année suivante. La BB 512 de 4,9 litres est remplacée en 1984 par la Testarossa dotée de quatre soupapes par cylindre.
La gamme 1994/95 comprend la 348 spider dotée d'un V8, 3,4 litres de 320 ch, la F 355, V8 de 3,5 litres remplaçant les 348 GTB et GTS, la 512 TR.
Source : Encyclopédie des voitures, Edita.
Une Ferrari pour tous les jours ?!!! - http://www.lagalaxie.com/Automobile/Article/360mf1.php
Le site officiel : http://Ferrari.com
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Histoire Chronologique de l'ancienne marque automobile " Ferrari ", Italie 1940 - .....
La firme Ferrari commença sa carrière automobile en 1929, sous le nom de Scuderia Ferrari.
Cette année-là, Enzo Ferrari créa une organisation dont le but principal était l'entretien des voitures de course de la clientèle d'Alfa Romeo et qui se consacrait aussi à la transformation et à la modification des voitures de la marque.
Le cheval cabré, emblème du pilote de guerre Francesco Baracca, était et est resté l'emblème de l'écurie.
Au volant des Alfa Romeo Grand Prix, Ferrari avait gagné de nombreuses courses jusqu'en 1938, date à laquelle Alfa Romeo décide de confier ses voitures à ses propres pilotes.
Ferrari quitte alors cette société pour fonder sa propre firme et, peu après, il construit deux modèles.
L'Auto Avio Costruzioni, avec siège à Modène était une société spécialisée dans la construction de machines-outils.
Bombardée en 1944 et 1945, l'usine fut reconstruite, en 1946, en vue de la production automobile, au moment où la firme prend la raison sociale de Auto Costruzione Ferrari.
A cette date, Ferrari présente une petite sport deux places équipée d'un moteur conçu par Colombo.
C’est la première véritable Ferrari, la 125 GT, a la 125 GT s'ajouta, l'année suivante, la 125 S.
Le projet d'Enzo Ferrari de créer plusieurs types de voiture, dont une monoplace de Grand Prix, se réalisa dés 1948 avec la 125 FI dont la puissance avait été portée à 250 ch. à 7 000 tr/mn, grâce à l'emploi d'un compresseur Roots.
La 275 F 1 fut utilisée pour la première fois sur le circuit de Spa en 1950, la deuxième fois sur celui de Genève et la troisième fois à Monza dans le Grand Prix d'Italie.
La construction de la 500F2, qui devait connaître une série de succès inhabituelle, fut décidée pour deux motifs : se préparer avec un moteur doué d'un couple moteur supérieur à la formule 1 de 1954, et ouvrir une nouvelle voie dans la formule 2, où Ferrari, dès 1948, avait obtenu de bons résultats.
En 1952, Ferrari entreprit la production de véritables Grand Tourisme.
Le premier modèle fut la 212 Inter, un cabriolet à deux places.
Il fut suivi de la version Coupé et, en 1953. par le spider 375 America, première « barquette » construite par Pininfarina pour Ferrari.
En 1953 la 212 Inter Coupé en 1953 et le spider 375 America, première « barquette » construite par Pininfarina pour Ferrari.
La construction de la 500F2, qui devait connaître une série de succès inhabituelle, fut décidée pour deux motifs : se préparer avec un moteur doué d'un couple moteur supérieur à la formule 1, et ouvrir une nouvelle voie dans la formule 2, où Ferrari, dès 1948, avait obtenu de bons résultats.
Ferrari aborda la formule 1 de 1954 avec une monoplace, la 625 F 1, mue par un 4-cylindres dérivé de celui de la formule 2.
En 1955, Trintignant gagna le Grand Prix de Monaco avec une 625 S modifiée.
Cette voiture acheva sa carrière dans le Grand Prix de Grande-Bretagne.
En 1956, Juan Manuel Fangio, qui était entré dans l'écurie Ferrari, remporta son quatrième titre mondial et le troisième titre pour la firme de Modène.
De 1954 à 1960, Ferrari produisit aussi un nombre important de voitures Sport et Grand Tourisme, utilisant des moteurs à 4, 6, 8 et 12 cylindres.
Parmi les 4-cylindres, une voiture obtint un grand succès, même sur le plan commercial, la 500 Mondial, qui, à partir de 1956, fut appelée « Testa Rossa ».
En 1956, Ferrari s'était implanté dans le domaine des grosses cylindrées de grand tourisme, avec la 410 Superamerica, dont dérivèrent les Superfast (I, II, III), qui amenèrent à Ferrari une clientèle d'élite.
En 1956, Juan Manuel Fangio, qui était entré dans l'écurie Ferrari, remporta son quatrième titre mondial et le troisième titre pour la firme de Modène.
Dès 1959 Ferrari avait définitivement opté pour les freins à disque.
En 1961, la firme adopta irrévocablement le moteur arrière.
La première machine à en être dotée fut la 156 FI construite en 1960.
La série des prototypes de la période 1963-1967 permit à Ferrari de faire un très important bond en avant.
Des 300 ch de la 250 P de 1963, on passa aux 450 ch de la P 4 avec moteur de 3 967 cm3.
Le moteur à six cylindres de formule 1 de 1961 fut le premier d'une série comprenant la 196 S, une 2000 cm3 avec laquelle Ludovico Scarfiotti enleva le Championnat européen de la montagne en 1962.
En 1968, alors qu'il est très lié à Fiat Ferrari lance la 365 GTC pour remplacer la 350 et la 365 GTB/4 Daytona dotée d'un moteur développant 352 ch pour atteindre 280 km/h.
Ferrari poursuivit, à partir de 1966, la fabrication d'une grande variété de voitures Sport, parmi lesquelles certains modèles dotés de moteurs de grosse cylindrée.
Comme la 512 S, la 512 M qui lui fit suite et qui avait une puissance portée à 610 ch, ainsi que la 612 ÇA ne furent pas parmi les plus marquantes de la production Ferrari.
Leur fabrication fut la conséquence de règlements stériles au point de vue technique.
A la fin de 1973 fut présentée la Dino 308 GT, qui, avec un 8-cylindres en V placé au centre de la voiture et une carrosserie dessinée par Bertone, rompit carrément avec la tradition dans le domaine du Grand Tourisme traditionnel.
En 1976, les 365 GT deviennent les 400 et 400 Gt, dotées de l'injection en 1979 et rebaptisées 412 en 1985 avec un moteur de 4,9 litres.
En 1983, le coupé Mondial à seize soupapes présenté en 1980 reçoit seize soupapes supplémentaires en 1983, sort en cabriolet en 1984 et avec un 3,2 litres l'année suivante. La BB 512 est remplacée en 1984 par la Testarossa.
La gamme 1994/95 comprend la 348 spider dotée de 320 ch, la F 355, V8 remplaçant les 348 GTB et GTS, la 512 TR.
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